Au printemps, savourons la cuisine japonaise

Si nous aimons tant la street food, c’est parce qu’elle nous fait voyager. Les cuisines du monde nous permettent de découvrir des saveurs, des textures, des épices, des recettes envoûtantes et addictives… Pour nous, c’est un délicieux moyen d’aller à la rencontre d’autres cultures, d’autres modes de vie et de manières de voir le monde.  

Au printemps, c’est du côté du pays du Soleil-Levant qu’il faut regarder !  

Entre fête des cerisiers en fleurs et pluie de pétales de pruniers, c’est la saison idéale pour préparer et déguster les délices de la cuisine japonaise. Inscrite au patrimoine culturel mondial de l’Unesco, c’est une gastronomie en fusion avec la nature ; une nourriture saine, équilibrée, pleine de formidables surprises.  

Recette de bouillon ramen au chou bok choy

« Sous les fleurs de cerisiers 

Grouille et fourmille 

L’humanité. »

Kobayashi Issa (1663-1827), poète de haïkus, ces délicates petites phrases ciselées, qui sont le fruit de l’observation de la nature. 

La cuisine japonaise, en harmonie avec les saisons 

Les traditions culinaires japonaises, appelées washoku, sont reconnues mondialement depuis décembre 2013, date de leur inscription sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Plus que toute autre au monde, la cuisine japonaise épouse le rythme des saisons pour mettre en valeur ce que produit la nature : fleurs, fruits, légumes, herbes…  

C’est un trésor culinaire, unique et précieux, dans ce pays où cohabitent harmonieusement deux religions, shintoïsme et bouddhisme, éminemment respectueuses du vivant. 

La cuisine japonaise est à base de produits de saison, réputés pour leur extrême fraîcheur. Dans la tradition, les recettes changent au fil des mois, et aussi la vaisselle et la décoration de la table et des mets. On aime parer les plats de fleurs, de branches, d’écorces, de feuilles… 

Un calendrier traditionnel calqué sur les frémissements de la nature 

« Le réveil des insectes », « Les premiers pêchers fleurissent », « Les chenilles se changent en papillons » « La pluie humidifie la terre », « La brume commence à s’attarder », « L’herbe se remet à pousser » : il ne s’agit pas des observations d’un jardinier mais de l’éphéméride du calendrier traditionnel japonais, le Kyûreki. Il se déploie en 24 périodes appelées Sekki et 72 micro-saisons, les . C’est dire à quel point le rythme de la nature est depuis toujours au cœur de la vie des habitants de l’Archipel ! 

Bien entendu, le kyûreki, d’origine chinoise, a été remplacé de longue date par le calendrier grégorien universel. Toutefois, les fêtes, les célébrations, et surtout les mets que l’on déguste s’en inspirent toujours. On ne compte pas les spécialités culinaires régionales qui s’inspirent du cycle de la nature. Makis et sushis se parent de vert au printemps et du rouge des feuilles d’érables en automne. Sans parler des mochis délicatement poudrés, dont les formes et les garnitures se déclinent à l’infini pour symboliser la neige, la floraison, les feuilles mortes… 

Au printemps au Japon, on fête les cerisiers en fleurs ! 

Savez-vous que la floraison des sakura, les cerisiers, est attendue avec tellement d’impatience au Japon qu’elle est annoncée par la météo locale ? Tout le monde a hâte de participer à Hanami, la fête des cerisiers qui est un grand temps fort de l’année avec Momiji, la fête du flamboiement des érables à l’automne. Du sud au nord de l’Archipel, les arbres, les sakura, fleurissent à une ou deux semaines d’intervalle. À l’apogée de la floraison, il est de coutume de se rendre en famille dans un parc pour pique-niquer sous les cerisiers et se prendre en photo pour immortaliser ce moment. La tempête de pétales est un autre évènement quelques jours plus tard ! 

Une petite gourmandise est tout particulièrement appréciée à ce moment-là : ce sont les sakura mochi, un daifuku mochi délicatement coloré de rose et enveloppé dans une feuille de cerisier qui a été conservée dans la saumure ! Une autre version de ce daifuku est garnie au cœur avec une demi-fraise. Le comble de la gourmandise, n’est-ce pas ?

 

La cérémonie du thé : l’art du raffinement  

Celles et ceux qui en ont fait l’expérience vous le diront : la cérémonie du thé traditionnelle est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie ! C’est la manière la plus sûre d’approcher la culture japonaise, sa perfection dans la quête d’harmonie.  

Lors de la cérémonie du thé, inspirée du bouddhisme zen, chaque geste est codifié selon un rituel séculaire : la purification des mains avant d’entrer dans le pavillon de thé, la manière d’y entrer, d’admirer les estampes de saison, de tenir sa tasse de thé…  

En tant qu’invité, vous serez convié à vous asseoir à genoux sur le tatami qui recouvre le sol. Si on vous sert du thé matcha, il sera préparé avec des ustensiles spéciaux, que les amateurs connaissent bien, en particulier le chasen, un petit fouet en bambou qui sert à faire mousser la poudre de matcha et l’eau.  

C’est lors de la cérémonie du thé que vous dégusterez les wagashi, les merveilleuses pâtisseries japonaises à base de farine de riz de riz gluant qui se parent au fil de l’année de couleurs, de formes et de saveurs extraordinaires. 

Bien se tenir à table avec des baguettes ! 

À chaque pays ses usages et ses règles de savoir-vivre. Il y a ce qui se fait et ce qui ne fait pas. Le Japon réserve quelques surprises qui peuvent nous sembler autant de bizarreries. 

Ainsi, vous êtes tout à fait autorisé à aspirer vos nouilles de riz en faisant du bruit ! Tout comme de rapprocher l’assiette de votre bouche, ce qui est parfaitement incongru chez nous. 

Vous avez déjà mangé avec des baguettes ? Ça paraît compliqué mais il suffit pourtant de persévérer et vous verrez, on y arrive ! En revanche, ne les plantez pas dans votre bol de riz et ne vous en servez pas pour montrer quelque chose : ce serait un manque de politesse voire une insulte à l’égard de vos hôtes japonais. 

Soupe ramen avec nouilles de riz bio

Plongez dans l’univers incroyable de la cuisine japonaise 

  • Makis et sushis trempés dans la sauce soja Ponzu bio
  • Daifuku mochi fraise et pate a tartiner
  • Soupe ramen avec miso aux algues Kombu royal
  • Mochi brownie au matcha
  • California rolls sushis et sauce japonaise bio 200 ml

Un voyage gourmand au Japon se prépare d’abord en se familiarisant avec certains ingrédients typiques indispensables. Il faut ensuite apprivoiser des tours de mains, des façons de cuire les aliments. Il faut enfin qu’on vous donne les meilleures recettes. Pour tout cela, vous pouvez compter sur nous ! 

Les meilleurs ingrédients bio pour « faire maison » les délices du Japon 

Farine de riz gluant, nouilles rãmen, riz à sushis, vinaigre de riz, assaisonnement pour riz à sushis, sauces soja, miso… Ce sont ces produits, ces sauces et ces condiments qui donnent aux plats japonais des textures, des parfums et des saveurs absolument uniques !  

  • Mochis japonais maison
  • Dango mochi japonais
  • Mochi brownie au matcha
  • Daifuku mochi fraise
  • Mochis chocolat et noix de coco

La farine de riz gluant bio, base des wagashi  

Issue de la mouture très fine d’une variété particulière de riz, le sticky rice, la farine de riz gluant est une farine magique. C’est l’ingrédient de base pour fabriquer notamment les mochis, ces petits gâteaux poudrés si tendres en bouche. Les Japonais varient les formes, les couleurs, les garnitures et les décors au fil des saisons. Nous, on adore les imiter une fois qu’on a pris le tour de main en utilisant une de nos kits mochis prêts à l’emploi, nature, cacao ou matcha. On aime aussi utiliser la farine de riz gluant bio dans nos recettes de brownies, de brioches, de sauces… pour retrouver cette texture unique, à la fois moelleuse et élastique.  

Kit mochi nature bio

En plus, notre farine de riz gluant et nos kits mochis bio sont certifiés sans gluten par l’Afdiag. C’est un cadeau pour les gourmands fous de pâtisserie qui n’ont pas droit au gluten ! 

Sauce soja Ponzu et Mirin Saké doux : le Japon dans votre assiette 

Les produits issus de la fermentation, les sauces soja (Shoyu et Tamari) et les misos (Gen mai, Shiro miso, Kombu royal) sont la base de l’assaisonnement des plats japonais : la célèbre soupe miso, bouillons et ramens, makis et sushis, légumes, poissons et viandes… Ces sauces et condiments sont de formidables exhausteurs naturels de goût, qui donnent toute leur profondeur aux aliments. Avec eux, nous partons à la découverte de l’umami, cette indéfinissable cinquième saveur qui met subtilement nos sens en éveil. 

La sauce Ponzu, à base de Tamari, apporte une délicate touche citronnée, des notes fraîches et acidulées à une salade d’algues typiquement japonaise ou un poke bowl. 

Le Mirin Saké doux, à base de riz fermenté, relève les saveurs d’une note subtilement sucrée. On l’utilise notamment pour laquer tofu, poisson et poulet. 

Ces sauces, comme le Shoyu, le Tamari et les misos Autour du Riz sont vegan, sans gluten et sans additifs.  

Sauce soja ponzu veggie bio

Les nouilles rãmen, la base des divines soupes nippones du même nom 

Ce sont des nouilles de riz, composées de riz blanc ou demi-complet, d’eau et c’est tout ! Présentées sous forme de briques (une brique = une part), elles cuisent en 5 minutes chrono. Accompagnées d’un bouillon, d’une garniture (viande, tofu, œuf), d’herbes, d’huile et condiments de son choix, les nouilles composent de sublimes soupes rãmen dont on ne se lasse pas. 

Nouilles ramen de riz demi-complet bio 280 g

Des tours de mains et des modes de cuisson à apprivoiser 

Vous voulez préparer des plats japonais ? Pas de panique ! Voici quelques conseils pour mettre toutes les chances de réussite de votre côté et gagner un temps précieux. 

  • Nous vous recommandons de cuire le riz à sushis par absorption.
  • Avant de cuire le riz à sushis, il est nécessaire de le rincer abondamment à l’eau, en le remuant avec les doigts. C’est une étape incontournable pour éliminer l’excès d’amidon. 
  • Pour modeler vos onigiris, mouillez-vous les mains (car le riz est collant !).
  • Pour relever des légumes sautés, arrosez-les avec quelques gouttes de vinaigre de riz complet, c’est un formidable exhausteur de goût.  
  • Faites mariner vos œufs durs dans la sauce soja pendant une nuit. Ils seront délicieux et agrémenteront à merveille une soupe rãmen ou un poke bowl. 
  •  Pour confectionner vos mochis maison, saupoudrez-vous abondamment les mains avec de la fécule de tapioca ou de pommes de terre : la pâte à mochis est très collante ! 

Et… n’hésitez pas à décorez subtilement vos mets « à la japonaise » avec des fleurs, des feuilles, des herbes, des écorces, des petits fruits de saison…  Ajoutez aussi des couleurs à vos mochis avec de la poudre de matcha au printemps, du cacao à l’automne, du jus de betterave en hiver…  

Découvrez les recettes faciles des iconiques plats japonais 

Pour régaler vos convives de nouvelles saveurs ou avec leurs plats japonais préférés, nous vous recommandons : 

  • Un sublime rãmen: simple mais raffiné, avec nos nouilles de riz express sans gluten. 
  • Une makis party de folie, avec notre riz à sushi cultivé en France et notre trio de sauces soja uniques à base de riz : sauce soja Shoyu salée, sauce soja Ketjap sucrée, sauce Ponzu citronnée. 
  • Un savoureux saumon laqué au Mirin, dans la pure tradition. 
  • D’irrésistibles mochis à la fraise, la douceur star du Japon, avec notre farine de riz gluant bio ou l’un de nos kits mochis bio, nature, au matcha ou au cacao.